
Dans ses réponses, en effet, Méléro avoue sans états d’âmes la responsabilité de son organisation dans le meurtre de Hached qu’il assume, voire revendique, clairement. Mieux, il ne fait pas mystère des liens entre La Main Rouge et les autorités françaises de l’époque. Ainsi, la thèse qui a été développée, il y a 55 ans, par le Mouvement National dans toutes ses composantes, se trouve aujourd’hui établie et vérifiée.
Ce faisant, ce documentaire peut relancer le débat sur l’histoire du mouvement national en Tunisie et pousser universitaires et intellectuels à approfondir les connaissances de cette phase clé de notre histoire moderne.
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