
Cette critique de simple bon sens adoptée par plusieurs familles tunisiennes qui ont pu suivre le programme a été exprimée, lors d’une conférence de presse, par un membre du gouvernement, Mme Kanoun Jarraya, ministre de la famille et de l’enfance. Celle-ci a, selon le site Ettounsia, affirmé son opposition à ce programme qui représente une véritable menace sur la santé mentale et comportementale des enfants. Elle aurait même rédigé un rapport sur la question, demandant l’arrêt de ce programme. Tout simplement. Sa demande est, toutefois, restée lettre morte à cause, dit-elle, de la primauté, dans notre pays, du sacro-saint principe de la liberté d’expression (sic). On pourrait aussi penser que c’est peut-être dû à l’action d’une plante du désert toute recouverte d’épines… Car, qui s’y frotte, s’y pique ! Bon courage, Mme la Ministre !
Boubaker Jridi
1 commentaire:
Plutot que de parler de liberte d'expression, terme tres mal place quand il s'agit de sante publique et de derive societale, il s'agit de "liberte de se faire du fric a n'immporte quel prix"...
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