Je ne te connais pas bien. Mais, depuis lundi dernier, j’ai commencé à m’intéresser à toi, à ce que tu fais et … A ce qu’on est en train de te faire.
J’ai vu une photo. Un sourire espiègle. Je lis les témoignages de solidarité que tu as suscités sur notre blogosphère. Et, désormais, je pense à toi comme à une petite sœur… Une petite sœur intelligente, malicieuse et rebelle. Pas toujours raisonnable, il est vrai. Parce qu’elle refuse nos raisons, notre réalisme, nos compromis et … nos compromissions !
Le sort a voulu que tes frêles épaules portent l’idéal de la liberté d’expression dans nos contrées. Sois sûre que tu n’es pas seule dans cette épreuve.
Touchez pas à notre petite sœur !
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